Mercredi 18 mars à 20 h 30
Spartacus et Cassandra Documentaire bouleversant et généreux, qui met à mal les clichés concernant la communauté rom et redonne un peu d’espoir à travers le regard de ces enfants qui ont grandi trop vite.
A l’issue de la projection, visio-conférence avec Ioanis Nuguet, le réalisateur.
Un chapiteau à la périphérie de Paris ; deux enfants Roms, Spartacus et Cassandra, y sont recueillis par Camille, jeune trapéziste. Ils y apprennent le jonglage, l’acrobatie…Mais très vite, le cirque a pris une autre dimension sociale : on y fait de l’aide aux devoirs, on accompagne les familles aux rendez-vous avec le juge, on aide à trouver des solutions…
Un havre de paix fragile pour ce frère et sa sœur de 13 et 10 ans, déchirés entre le nouveau destin qui s’offre à eux, et leurs parents vivant dans la rue.
Le film démarre ; Spartacus pose sa voix et nous livre sa vie en quelques mots. Camille a fait la connaissance de Spartacus et Cassandra dans la rue. Un lien rare s’est tissé peu à peu entre ces trois-là.
Et c’est aussi de ces rencontres précieuses qui peuvent vous construire, de ces évidences capables d’influer sur le cours de nos vies dont nous parle Ioanis Nuguet dans son premier film qui résonne de façon universelle.
Revue de presse
Télérama
Le film, douloureux, lumineux, refuse la fatalité de ceux qui sont nés pour n’être chez eux nulle part. Et défend le droit de chaque enfant, même « du voyage », à planter un arbre qu’il pourra voir grandir.
Le Monde
Du quotidien d’une fratrie à la dérive, Ioanis Nuguet réalise un film lumineux.
Première
Entre réalisme et poésie, documentaire et fiction, cette histoire frappe au cœur. Troublant et émouvant.
20 Minutes
On sort fort secoué et profondément marqué d’avoir partagé la vie de gamins qui n’ont jamais vraiment eu le droit d’être des enfants.
La Croix
Au-delà de ce qui l’ancre dans une certaine réalité sociale, ce magnifique film, qualifié par son auteur de « conte documentaire », touche quelque chose de profondément universel.
Metro
Plongée intime dans une enfance sacrifiée, puis retrouvée, cette œuvre atteint sa cible : l’épicentre de nos cœurs.
Sud Ouest
Ce film est une merveille.
aVoir-aLire.com
Film engagé, au ton très libre et traitant d’un sujet sensible, « Spartacus et Cassandra » n’élude rien des réalités avec lesquelles nous sommes confrontés. Pour autant il ne se veut ni un film à thèse, ni un film jouant sur le sentimentalisme et sur le misérabilisme.
Le Journal du Dimanche
Ce n’est pas qu’un film sur les Roms, c’est un film sur ces gens-là, sans clichés, sur leur détresse, leur vie, avec deux petits héros éblouissants.
Les Fiches du Cinéma
Poignant, mais émotionnellement violent.
Mercredi 18 mars à 20 h 30
Spartacus et Cassandra
Documentaire bouleversant et généreux, qui met à mal les clichés concernant la communauté rom et redonne un peu d’espoir à travers le regard de ces enfants qui ont grandi trop vite.
A l’issue de la projection, visio-conférence avec Ioanis Nuguet, le réalisateur.
Un chapiteau à la périphérie de Paris ; deux enfants Roms, Spartacus et Cassandra, y sont recueillis par Camille, jeune trapéziste. Ils y apprennent le jonglage, l’acrobatie…Mais très vite, le cirque a pris une autre dimension sociale : on y fait de l’aide aux devoirs, on accompagne les familles aux rendez-vous avec le juge, on aide à trouver des solutions…
Un havre de paix fragile pour ce frère et sa sœur de 13 et 10 ans, déchirés entre le nouveau destin qui s’offre à eux, et leurs parents vivant dans la rue.
Le film démarre ; Spartacus pose sa voix et nous livre sa vie en quelques mots. Camille a fait la connaissance de Spartacus et Cassandra dans la rue. Un lien rare s’est tissé peu à peu entre ces trois-là.
Et c’est aussi de ces rencontres précieuses qui peuvent vous construire, de ces évidences capables d’influer sur le cours de nos vies dont nous parle Ioanis Nuguet dans son premier film qui résonne de façon universelle.
Revue de presse
Télérama
Le film, douloureux, lumineux, refuse la fatalité de ceux qui sont nés pour n’être chez eux nulle part. Et défend le droit de chaque enfant, même « du voyage », à planter un arbre qu’il pourra voir grandir.
Le Monde
Du quotidien d’une fratrie à la dérive, Ioanis Nuguet réalise un film lumineux.
Première
Entre réalisme et poésie, documentaire et fiction, cette histoire frappe au cœur. Troublant et émouvant.
20 Minutes
On sort fort secoué et profondément marqué d’avoir partagé la vie de gamins qui n’ont jamais vraiment eu le droit d’être des enfants.
La Croix
Au-delà de ce qui l’ancre dans une certaine réalité sociale, ce magnifique film, qualifié par son auteur de « conte documentaire », touche quelque chose de profondément universel.
Metro
Plongée intime dans une enfance sacrifiée, puis retrouvée, cette œuvre atteint sa cible : l’épicentre de nos cœurs.
Sud Ouest
Ce film est une merveille.
aVoir-aLire.com
Film engagé, au ton très libre et traitant d’un sujet sensible, « Spartacus et Cassandra » n’élude rien des réalités avec lesquelles nous sommes confrontés. Pour autant il ne se veut ni un film à thèse, ni un film jouant sur le sentimentalisme et sur le misérabilisme.
Le Journal du Dimanche
Ce n’est pas qu’un film sur les Roms, c’est un film sur ces gens-là, sans clichés, sur leur détresse, leur vie, avec deux petits héros éblouissants.
Les Fiches du Cinéma
Poignant, mais émotionnellement violent.
Cinéma Le Saleys
Rue du Marechal Leclerc
64270 SALIES de BEARN
lesaleys@orange.fr www.moncine.fr/cinema/salies-de-bearn/
Tél: 05 59 65 05 37